vendredi 17 mai 2019
Le chant, indispensable outil de cohésion et de communication
La cérémonie d’hommage aux deux officiers mariniers tués lors d’une opération en Afrique illustre le rôle essentiel de la musique. Loin de chez nous est un chant remontant à la guerre d’Algérie. S’il n’a pas été chanté lors de la cérémonie, sa mélodie a été jouée par le bagad de Lann Bihoué. Et pas de musique sans un orchestre ou un chœur.
mercredi 1 mai 2019
Le chant militaire est un répertoire oral vivant qui, s’il est d’abord destiné aux soldats, peut parfaitement être repris dans des interprétations de qualité. Actuellement, le contexte culturel français en fournit peu d’occasions, mais elles n’en sont que plus appréciables et manifestement appréciées. Elles mériteraient d’être plus connues.
Glanées sur Youtube, d’abord une récente interprétation des Combats de Tu Lê. Ce chant a été composé pour la promotion de l’EMIA du même nom par les SLT Sauvée et de Pontbriand (1992-1994).
Avec l’accompagnement d’un orchestre, l’adaptation française du célèbre chant funèbre des soldats allemands, Ich hatt einen Kameraden. On reconnait dans la mélodie quelques mesures de la 2e partie de l’adagio du Concerto pour clarinette de Mozart. Friedrich Silcher, admirateur du compositeur viennois, s’en est inspiré pour la mélodie qu'il a adaptée aux paroles écrites par Ludwig Uhland en 1809.
Glanées sur Youtube, d’abord une récente interprétation des Combats de Tu Lê. Ce chant a été composé pour la promotion de l’EMIA du même nom par les SLT Sauvée et de Pontbriand (1992-1994).
Avec l’accompagnement d’un orchestre, l’adaptation française du célèbre chant funèbre des soldats allemands, Ich hatt einen Kameraden. On reconnait dans la mélodie quelques mesures de la 2e partie de l’adagio du Concerto pour clarinette de Mozart. Friedrich Silcher, admirateur du compositeur viennois, s’en est inspiré pour la mélodie qu'il a adaptée aux paroles écrites par Ludwig Uhland en 1809.
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